Le business model du boeuf. Sujet sensible au moment où la filière finance un programme court sur TF1 (« Questions Bêtes ») pour soutenir la consommation.
Rappelons quelques notions. Le kg de boeuf est la viande qui émet le plus de gaz à effet de serre, consomme le plus de ressources.
C’est une filière aussi de lait. Mais les impacts selon les élevages sont différents, notamment les prairies stockent du carbone. Il y a également des problématiques de bien-être animal. Comme tous les secteurs agro-alimentaires, il s’est embarqué depuis 80 ans dans une stratégie de spécialisation et d’économie d’échelle. Toujours plus gros pour ne pas gagner grand chose par bête unitairement.
A business model égal, les producteurs craignent la baisse de la consommation, donc de valeur. Il faut donc un scénario où la consommation baisse, l’élevage devient moins intensif, mais la valeur reste. Il est assez facile d’imaginer au niveau macro où l’équation est résolue. On en trouve une version dans le plan publié récemment par The Shift Project
Reste le chemin pour y arriver. La bonne échelle déjà : l’Europe en haut, la France, les Régions, les Commnues, les exploitations, les consommateurs. Bref l’écosystème entier. Et c’est déjà compliqué.
Et la bonne transition. Aider à la création à côté d’un élevage intensif d’un « Proof of concept » sur une technique plus vertueuse. Aidons ceux en dehors du schéma final à tester la bifucartion. Prouver que ça marche et favoriser l’évolution du business model en Y.
Pour cela il faut du temps, des moyens et de la volonté. une idée pour les associations professionnelles de la filière hashtagCNE INTERBEV CNIEL
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